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Archive for December, 2013

On Fire

I’m on fire
Flames licking my skin
Sweat droplets beading on my body
Melting away the pain and brokenness

I’m consumed
Burning up with a fever of passion
Mania and madness
Chaos at every turn

I’m blinded by the brightness
Unable to see what lies before me
All I know is the past
And the present moment

I want to finish dying
So I may rise again from the ashes
Reborn a new woman
More powerful than ever before

I will be a goddess of the flames
Of desire and passion
Of strength and resilience
Of love

I am becoming a new true me
So I will happily burn
Consumed by these flames
Until I can spread my new wings

I’m on fire

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❤ Me

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La guerre ouvre un monde où la violence, la destruction, et la misère dominent sur tout. La pauvreté des peuples et la corruption des chefs coexistent ensemble dans un environnement qui semble trop cruel et sans pitié. Des familles sont rompues par la mort, en laissant les enfants à devenir des orphelins. Il n’y a pas de place qui est hors de danger. Souvent pour échapper la solitude, les enfants mentent de leurs origines et laissent leurs passés derrière leurs dos pour devenir enfant-soldat. Comme petits guerriers, ils sont donnés des armes pour tuer les ennemis, drogués pour devenir engourdi aux émotions comme la peur, et exploités pour leur âge, taille, et susceptibilité d’être influencé facilement. L’Afrique de l’Ouest souffre de la guerre civile dans beaucoup de pays pendant plusieurs années terribles dans le passé récent, et quelque pays continuent de souffrir des régimes violents au présent. À qui est-ce que les gens crient pour de l’aide et la délivrance ? La religion joue un rôle important et signifiant dans les vies des peuples africains comme l’islam, le christianisme, et les autres plus petites religions dans les tribus indigènes. Ils ont leur propre perspectif de la nature de Dieu ou Allah ou les autres plus petits esprits. Auteur Ahmadou Kourouma écrit un roman, Allah n’est pas obligé, qui suit la vie d’un jeune garçon appelé Birahima qui devient soldat-enfant pour sauver sa vie pendant les guerres civiles de Liberia, Sierra Leone, et les autres pays dans l’Afrique de l’Ouest. Ses pensées d’Allah sont influencées par sa famille, des autres adultes importants, et des événements puissants dans sa vie. Il est dit que tout ce qui se passe est ce qu’Allah veut, Allah n’a pas besoin d’être juste dans toutes ces choses, et Allah ne laisse jamais vide une bouche qu’il a crée. Il répète ses idées et phrases partout dans le roman. Au commencement du livre, Birahima est influencé par tous les croyances des autres, mais pendant ses expériences graphique, tragique, et surprenant qui suivent dans son quête de survivre, ses vues d’Allah se développent et changent. Après tout, l’enfant-soldat décide pour soi-même si Dieu a une présence optimiste ou fataliste sur terre, ou peut-être pas présent du tout. Comme il grandit, il relie sur ses propres opinions de la vie, pas juste les mots des autres. L’évolution de ses perspectives d’Allah pendant ce livre contribue un thème signifiant dans ce critique de la guerre, la culture, et la politique.

Les aspects d’Allah sont premièrement révélés par la grand-mère de Birahima quand ils vivent ensemble au commencement du roman. Sa grand-mère est une source traditionnelle au sujet de la religion et s’appelle l’autorité de la famille. Elle dit qu’Allah choisit les vies pour tous et que toutes les choses ont une raison qu’il décide. Personne ne peut pas contrôler sa vie parce que Dieu a le vrai pouvoir de créer et détruire. La souffrance est bonne pour réussir et vivre dans l’éternité après cette terre. À sa famille, elle dit, « C’est Allah qui crée chacun de nous avec sa chance, ses yeux, sa taille, et ses peines… Il te fait souffrir sur terre pour te purifier et t’accorder demain le paradis, le bonheur éternel » (Kourouma 17). Chaque expérience dans cette vie les prépare pour le futur dans le ciel ou l’enfer. Il faut qu’on remercie Allah pour tout ce qu’il fait, même la douleur. Ici sur terre, la douleur n’est rien comparée à celle de l’enfer. La famille est affectée par la souffrance particulièrement avec la maladie de la mère de Birahima qui est victime d’un ulcère, une jambe coupé, et la douleur qui n’arrête pas. Mais les prières pour la délivrance ne sont pas toujours répondues. Encore, sa grand-mère dit, « Allah fait ce qu’il veut ; il n’est pas obligé d’accéder…à toutes les prières des pauvres humains » (21). Sa maman n’est pas guérie, et ensuite elle meurt. La croyance traditionnelle exprime qu’Allah l’a voulu, et il a la tout puissance de décider quand les vies sont finies. L’imam dit qu’il faut accepter ces idées avec révérence et respecte pour Lui, pas avec reproche. Birahima accepte ce qui lui est dit de la religion pour la plupart et le suit sans avis personnel. Mais il peut être captivé par des autres vues religieuses. Des féticheurs qui fait de la magie et la sorcellerie et qui ne sont pas musulmanes parlent des sorciers qui mangent les âmes des personnes pour la vengeance et pour recevoir leurs pouvoirs. Ils appellent la mère de Birahima la plus puissante sorcière, et Birahima est très peur et croit cette idée plus que celle de sa grand-mère.  Dans cette partie de sa vie, il est plus naïf et accepte beaucoup des idées des autres sans vraiment penser pour lui-même.

Une autre notion de Dieu répétée dans le livre qui est plus optimiste est qu’Allah ne laisse jamais une bouche qu’il a crée. Yacouba, un voleur et grigriman qui accompagne Birahima pendant ses aventures dans les territoires dangereux, croit en cette idée avec la force et l’utilisent comme une expression d’espoir et la justification pour des « miracles. » Il dit qu’Allah les aidera pendant les conflits et problèmes, que personne qu’il a crée sera laissée seule dans le monde. Dieu est un bienfaiteur aux gens qui l’appellent. Au commencement du livre, cette phrase apparait dans un moment où Birahima, Yacouba, et des autres compagnons qui voyagent par la rue sont arrêtés par un groupe d’enfants-soldats dans des 4x4s. Ils sont pillés et forcés de déshabiller dans la rue, et la plupart des gens sont prises dans la forêt où ils seraient tués. Birahima crie avec tout de sa voix et sa conviction qu’il veut être enfant-soldat, et Yacouba crie de ses talents avec les fétiches, comment il peut être grigriman pour le groupe. Le chef de ce groupe, Papa le Bon, les approche et accepte leurs offres, particulièrement parce qu’il a perdu un enfant-soldat qui est mort et maintenant a un remplacement avec Birahima. Yacouba affirme que leur chance vient de leur foi en Dieu pour les fournir. Une autre instance que cette notion est utilisée quand plus de temps est passé arrive quand une figure importante qui s’appelle Marie-Béatrice protège son institution des pillards et soldats qui veulent la prise pendant quatre mois. Kourouma écrit, « Malgré ce qu’on sait et dit : Allah ne laisse jamais vide une bouche qu’il a crée, tout le monde s’est étonné et tout le monde a soutenu que Marie-Béatrice était une véritable sainte d’avoir nourri tant de gens… » (143). Le chef Johnson est aussi étonné que l’institution n’a pas de caves avec beaucoup de nourriture et de la richesse. Marie-Béatrice dit que ce qui les a supportés est « l’aumône des braves gens, l’aumône des croyances. Dieu ne laisse jamais vide la bouche qu’il a crée » (154). Birahima voit la progression des degrés qu’Allah peut provider pour les humains.  Il y a une grande différence entre la provision des deux personnes et une institution entière avec beaucoup des vieux et invalides qui ne peuvent pas aider eux-mêmes. Malgré ça, Birahima utilise cette idée comme un justification pour voler et pillage, en pensant qu’il a le droit de prendre des autres pour remplir sa bouche. C’est presque comme il se moque de cette notion de Dieu et l’exploite pour ses bénéfices en soi.

Dans tous les horreurs de la guerre, c’est aussi difficile pour Birahima à voir la présence positive de Dieu. Une autre phrase répétée est qu’Allah n’est pas obligé, n’est pas besoin d’être juste dans toutes ces choses. Il est similaire des pensées de sa grand-mère mais plus fataliste Au commencement du livre, Birahima interprète qu’Allah n’a pas toujours les regards pour l’humanité. Les gens souffrent beaucoup sans son aide, et les prières ne sont bons à rien. C’est comme les êtres humains ne méritent pas son attention. Un exemple très triste qui met l’idée en perspective est la destruction du village de Kik prés au début du livre.

La guerre tribale est arrivée vers dix heures du matin. Les enfants étaient à l’école et les parents à la maison…C’est seulement le lendemain matin, quand il n’y eut plus de bruit, que les enfants s’aventurèrent vers leurs concession familiale… trouva son père égorgé, son frère égorgé, sa mère et sa sœur violé et les têtes  fracassées… Allah n’est pas obligé n’a pas besoin d’être juste dans toutes ses choses, dans toutes ses créations, dans tous ses actes ici-bas (96-97).

 

Les enfants deviennent des orphelins et choisissent de joindre des armées pour être dans une nouvelle sorte de famille où ils peuvent appartenir à une cause. C’est un des seules façons de survivre. Mais la survie n’est pas garantie dans la vie d’un soldat-enfant. Les chefs adultes les voient comme plus dispensable et ont plusieurs enfants sur une arme pour qu’un autre puisse remplacer un enfant qui meurt dans le combat. Au milieu du livre, Birahima voit les morts de ses camarades et les justifie qu’Allah a choisi qu’ils meurent. Ses décisions ne sont pas justes dans l’opinion de Birahima mais Dieu est immortel et pas un être humain plus faible. Il n’est pas subjugué aux mêmes règles. À la fin du livre, Birahima est très frustré avec Dieu et perd de sa foi en lui. Il trouve sa tante finalement, et elle meurt de la malaria et une fièvre dans la campe pour les malades. Il pleure plus que les autres fois qu’il a lamenté les morts. Pendant l’enterrement, Yacouba dit que « Allah ne voulait pas que je revoie ma tante ; alors que la volonté d’Allah soit faite sur terre et dans le ciel » (220). Birahima pense que Dieu n’est pas concerné vraiment des émotions des personnes et part des notions qu’Allah a la compassion pour ceux qui souffrent.

Il y a un autre change de croyance en Allah dans la progression du livre. Près de la fin, Birahima utilisent des références à Dieu comme « Allah le clément et le miséricordieux. » C’est-à-dire, pardonner les offenses et rendre plus agréable les châtiments de la misère. L’auteur Kourouma utilise cette comparaison à un juge qui pitié les personnes qui souffrent et les donne des actes qui a de la compassion. C’est comme Birahima cri d’un désespoir final, en voyant qu’Allah ne concerne lui-même avec les horreurs et les morts sur terre autour de lui. Kourouma utilise cette phrase quand il parle de Sierra Leone, « le bordel au carré, » où « les bandits de grand chemin se partagent le pays, » et comment les politiques qui s’appellent démocrates sont pleine de la corruption (163). Il demande pourquoi Dieu laisserait un pays entier  à causer tant de la misère et la souffrance aux citoyens et les villageois qui sont dans le milieu des problèmes. Allah n’est pas là pour aider ou prend soin de ses peuples, donc Birahima se détache de l’importance de Dieu et perd sa foi en lui.

Pendant le milieu du livre, Birahima part des croyances des autres et formule des idées pour lui-même. Il se voit comme un dieu de son histoire qu’il écrit. Il peut contrôler les évènements et manipuler qu’est-ce qui est dit. Quand il perd respect pour Allah, il vit le pouvoir en lui d’influencer la vie avec ses propres décisions. Plusieurs moments graphiques et violents passent dans le combat où beaucoup de soldats-enfants meurent, même des amis de Birahima. Quelque fois il écrit des oraisons funèbres pour honorer leur mémoire. Au milieu, il regarde son tâche avec nonchalance. Il dit, « Je le fais quand je le veux, je ne suis pas obligé. Je le fais… parce que la me plaît, j’en ai le temps et c’est marrant » (90).  Comme Dieu, il décide quand il veut donner l’attention à l’humanité. Il n’a pas besoin de la religion pour dire ce qu’il veut ou arbitre comment il répond aux actions. Mais il y a des instances quand il refuse d’écrire et partage ses pensées avec le lecteur.  Plus loin dans le livre, on découvre une jeune fille violée et décapitée. Même Birahima est plein des émotions fortes, en pensants que la façon qu’elle était tuée est abominable et terrible. Après en donnant l’histoire de la cherche du tueur, il dit, « Ce que [sœur Gabrielle Aminata] fit du pauvre hère n’a pas besoin d’être dit. Je ne suis pas obligé de tout dévoiler dans ce blablabla » (189). Il semble qu’il essayer de se cacher ses émotions puissantes derrière son pouvoir de contrôler son histoire. Birahima absorbe les idées fatalistes de Dieu et les adopte pour les traits de lui-même.

Au fin du livre, Birahima croit qu’il est la seule personne à compter sur dans la vie. Dieu n’est pas obligé d’être concerné avec les gens sur la terre, donc pourquoi garder la foi en lui ? Les idées des autres qu’Allah est une figure optimiste sont dominés par la réalité de la destruction horrifique de la guerre et l’absence d’aide de Dieu aux yeux du soldat-enfant. On espère qu’un jour sa vie trouvera la foi en quelque chose positif. Mais on n’est pas obligé d’imposer les croyances sur les autres.

 

child soldier

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